Nuit 4 Dans les rues

Je repris la route de la forteresse.
Ma petite isolation m’avais fait du bien, j’ai pu réfléchir à cette histoire avec mon père, j’ai réussit à apaisé ma haine et à surmonté mon chagrin.
J’étais désormais en pleine forme, il me fallait un petit humain à vider, et je rentre à la forteresse.
Je marchais, les mains dans les poches sans faire attention au deux ou trois clodo qui m’insultait, mais ils étaient bien trop dégoûtants pour moi.
Finalement, une femme s’avance vers moi, et me dit :
-Hey beau gosse, tu vas où comme ça ?

Beau gosse ? Mais que dit elle cette folle ?
-Je rentre chez moi ! Lui dit je
Elle se mit à rire et me dit :
-Un grand garçon comme toi ne doit pas rentrer chez lui à une heure si peut tardive ! Aller vient boire un coup avec moi.

Elle m’emmena alors dans un bar malfamé, et commanda deux hydromels.
Je ne bois pas d'hydromel!
Elle enfila la sienne en moins de deux, puis elle me regarda et me dit :
-Viens avec moi…
Elle me prit alors la main et me tira dehors.

Arriver plus loin, le lui saisi l’épaule, la retourna et m’approcha comme pour l’embrasser.
Elle s’approcha aussi, puis je la mordis.
Elle ne cria pas, elle me serra fort contre elle, mais ne se débattait pas. Je n’avais encore jamais bu un sang aussi bon, je me régalais.
Puis je sentis ses mains se desserrées, puis elle s’effondra par terre.
Je regardais son corps une dernière fois puis reparti, les mains dans les poches, en marchant tranquillement.

Suite dans la forteresse.

Je me baladais alors dans ces rues, je repensais aux mains de mon Père autour de mon coup, pourquoi ce geste ?
Il avait l’ère aussi choqué que moi lorsque c’est arrivé.
Et puis il y avait aussi cette femme qui avait étrangement réagie à ma morsure.

En marchant la tête ailleurs, je n’avais pas vue cette pierre au milieu du chemin, je me suis entraver et me suis retrouvé par terre. J’entendit alors des rires éclatés autour de moi, « enfin des embrouilles ! » pensais je.
Je me relève alors, et regarde autour de moi, il y avait quatre hommes, ou plutôt jeunes hommes qui rigolais comme des débiles.
Je m’approchais alors d’eux, avec un regard triste.
-S’il vous plais aidez moi, je suis perdu. Dit je en les regardant avec mon fameux regard.
-Heu… oui mais tu va où ? Me demanda l’un d’eux
-dans un bar, je me rappelle plus du nom… dit je
-A ouais sa doit être chez JP Esse ! dit l’un d’eux à ces amis

Il m’emmenèrent alors devant un vieux bâtiment délabrer et me dirent :-C’est ici
Je me retourne alors vers eux, avec un regard meurtrier et un sourire narquois.
-Vous vous êtes foutu de ma gueule, alors je vais vous tuer.
Ils se regardèrent et explosèrent de rire.
J’en pris alors un par le cou, le souleva et l’envoya contre un mur, les autres partirent un courant dans différente direction, tant pis, je me satisferais du seul gars encastré dans le mur.
Je le prit alors, et le sorti du mur.
-Alors tu t’es bien marré ? Lui demandais je
-Lassss mvoi. Dit t’il
Je le laissa alors tombé au sol, et lui explosa le crâne à coup de pied, et je frappais de toutes mes forces, jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’une pâtée saignante gisant sur le sol.Je remis alors mes mains dans les poches, et partit.

Je n'avais pas de suite reconnu ce Lycan, je me suis alors préparé à le tuer, mais finalement je me rappelais que c'était un ami de mon père.

-Je reviens de chasse? Si on veut... Lui dit je avec mon petit sourire narquois habituel.

Je continuais de marcher les mains dans les poches.

Je me demandais comment allaient mon Frère et mon Père.
Soudain, je retombai sur le corps de la femme que j'avais mordu plus taux,
Elle n'était pas morte, comment c'était possible, je l'avais pourtant entièrement bue.
Elle me regardait avec ses yeux sombres. Je me penche alors au dessus d'elle, pour voir si je n'hallucinais pas, non elle respirait.

-Qui est tu? Pourquoi est tu encore en vie?
-Je suis une simple humaine, mais pas toi, toi tu est autre chose, approche toi, me dit elle avec un petit sourire.

Une humaine, c'est impossible, elle n'aurais pas pu survivre à ma morsure, je m'approcha alors d'elle, elle me saisi la tête, l'approcha de la sienne, et m'embrassa.

Je retire ma tête d'un coup sec.

-Que fait tu? Si un du mien me voyais, je serais sûrement banni.
-Et alors tu m'a moi, me dit elle
-Mais tu es humaine, et tu devrais être morte.

Tout d'un coup elle se releva, comment c'était possible, me pris dans ses bras et me dit:


-La différence ne change rien

-Mais enfin je ne te connais même pas, je ne sais même pas ton nom. Dit je

-Je me nomme Lola, et j'ai peur de la solitude.

"Elle à peur de la solitude, comme moi, peut être est elle bien pour moi", pensai je

Je me secouais la tête, "mais à quoi tu pense elle est humaine imbécile" me dit je.

Je doit partir dit je en lui tournant le dos

Elle me cria des mots, mais je ne les est pas écoutés, et suis repati en direction de la forteresse, car le jour allait bientot se lever.