Nuit 4

Sören n'était pas rentré en même temps que les autres. Elle avait préféré s'isolé un peu question de comprendre son pouvoir. Bien que c'était étrange, elle aimait ça, maintenant. Elle voulait se pratiquer, mais c'était difficile et Foudre-noir devait courrir pour la retrouver. Résultat à la fin il dû la traîner jusqu'au château pour qu'elle arrête et qu'elle aille dormir, ce qui lui ferait vraiment du bien. Cependant elle alla dans sa chambre et passa une bref nuit revigorante. Mais dès son réveille elle, elle recommença ses bêtises, résultat, elle atterrit dans un box de l'écurie pas erreur, puis dans la grande salle, avec un prisonnier, elle avait faim et ne prêta pas attention au reste. Elle el vida de son sang pour se remettre en forme. Puis elle recommença, mais cette fois-si elle réapparut dans les airs et planta sur le sol. Son cheval l'entendit gromeler et sortit de son box en défonçant la porte de celle-ci. Il allait encore devoir courrir après. Après les étolurdissements passés elle se releva et recommença, mais cette fois elle atterrit dans le village et tomba au sol. Complètement étourdit. Après avoir chercher plusieurs dizaines de minutes. Foudre-noir la retrouva et décide de l'attraper par sa cape habituel poru pas qu'elle parte à nouveau et de la traîner.

-Idiot de cheval laisse moi m'amuser au moins. dit-elle en se débattant sans succès.

C'est là qu'elle vit Antechrist sur le sol

-Ça va? T'as pas l'air de bien aller....... Et qu'est-ce que je t'ai dit Foudre-noir, lâche moi.

J’ouvre les yeux, la nuit était tombée. J’étais dans une pièce que je ne connaissais pas, mais je trouvai un mot près de moi.
Je le lu, puis le reposa, je fixais le plafond, et repensais à la conversation d’hier avec mon père, une rage m’envahie, et mon souffle se fut court tel ma haine était forte.

« Il faut que j’aille me défouler » pensais-je
Je me suis alors lever, ajusta mon manteau, dégaina mon épée et fit quelques mouvement, puis la rangea.
J’ouvris alors la porte de la chambre, puis sortis.
« Mince, je ne connais toujours pas le chemin de la sorti ! » je décidais alors de passer par la fenêtre.
Une fois dehors, je senti une forte odeur d’alcool, je décide alors de la suivre, je parti alors en courant.

Arriver en ville, j’essayais de capter l’odeur de mon Frère, c’était dur à cause de cette fête. Je me suis alors approché de cette endroit répugnant. Devant la porte, je vis un homme courber face au sol entrain de vomir. Je m’approche de lui, et lui dit :
-Qu’est ce que c’est que ça ?
-Désoler, moi y’ai trop b. b… bue ! Me répondit-il avec un aire débile
-Non à l’intérieur qu’y à t’il ?
-HAAAa ! Ben c’est la fête ! Me dit t’il
Il m’attrapa les épaules puis me dit :
-Ben sourit un peut alors qu’est-ce qui à ta peur que ton papa te vois ?
Je lui attrapai alors ses deux mains, ma haine était encore plus forte, je lui retournai les deux bras, il poussa un hurlement de douleur, je lui broya les couilles et lui murmura :
-Ton père à toi ne te reverra que au cimetière petit bâtard.
Je lui lâcha les mains, et lui envoya une énorme droite, il tomba, sonner, et je le fini à coup de pied sur la tête.
Je m’éloigna alors de cet endroit, puis fini enfin par capter l’odeur de mon Frère, je la suivit et tomba sur le Fight Club.

J’arrivais enfin devant la forteresse, toujours enivré par le doux goût du sang de cette demoiselle.
Je me sentais léger et heureux.

Arriver dans la forteresse, je me mis à chercher une chambre pour m’allonger un peut et me remettre de mes émotions !

Puis je reconnu la porte de la chambre de mon père, je me suis arrêté devant, puis me suis demander :
-Je rentre ou non ?
Je souhaitais tellement m’excuser, je ne sais par pour quoi, car je n’avais rien fais, mais je sentais qu’il le fallais.
Mais, je vis, plus loin, une silhouette par terre. Je me suis alors approcher, c’était mon Frère.
« Tient il dors là lui ? » me demandai je avant de voir ces blessures.
J’ai alors essayer de le porter, mais mon Frère était vraiment lourd.
Je l’ai alors laisser là, en espèrent que quelqu’un d’autre le trouve.

Je suis alors retourné vers la chambre de mon père, puis j’ai frappé.
Aucune réponse.
J’ouvre alors discrètement la porte, il dormait…

Je me suis alors assis au bord du lit, et l’ai regardé dormir.

Puis je me suis approché de son oreille et j’ai murmuré
« Je ne t’en veut pas ».
Puis je me suis mis à la fenêtre, et je me suis allumé une clope.